Missions Mondiales

Le cœur de Dieu pour le monde.

Cette bonne nouvelle du royaume sera proclamée dans le monde entier pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin.

Matthieu 24:14 (SG21)

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Aller et envoyer

Il y a un esprit d'aller et un esprit d'envoyer dans le corps du Christ aujourd'hui. Les gens de toutes les nations ont besoin d'entendre que Dieu les aime et que Jésus-Christ est le moyen de se connecter à Dieu. Certaines personnes se sentiront appelées à se rendre dans des pays, soit pour des voyages de courte durée, soit pour y vivre. D'autres ressentiront un appel à rester à la maison et à soutenir ceux qui vont dans les champs de moisson de la terre. Il s'agit également d'un appel de Dieu à fournir aux autres les moyens de partir et à les maintenir dans les champs de la moisson. Nous devons tous être des expéditeurs et, dans un sens, nous pouvons tous être des expéditeurs, car lorsque nous envoyons quelqu'un, nous partons aussi. C'est la joie de travailler tous ensemble pour l'Évangile de Jésus-Christ.

Envoie-nous dans le monde entier avec la nouvelle de ta puissance salvatrice et de ton plan éternel pour toute l'humanité. Psaume 67:2 (TLB)

Atteignons le monde ensemble!

Pour le Royaume!

Pasteur David

Dieu est en marche dans le monde entier !

Le travail le plus important - Oswald J. Smith

Quel est donc le travail le plus important de l'heure ? C'est d'exécuter les derniers ordres de notre Seigneur. Il s'agit de porter son Évangile aux tribus et aux peuples du monde qui n'ont pas encore été touchés par l'Évangile. Cela, mes amis, est plus important que tout le reste. "Allez dans le monde entier et prêchez la bonne nouvelle à toute créature" (Marc 16:15).

C'est à cette aune, et à cette aune seulement, que nous devons juger toute spiritualité, toute connaissance de la Bible, toute discussion doctrinale et théologique. Si nous sommes vraiment spirituels, si nous sommes de vrais étudiants de la Bible, si nos doctrines sont scripturaires, nous mettrons l'évangélisation mondiale au premier plan ; nous donnerons, et nous donnerons généreusement, aux missions. Toute notre connaissance de la Bible, toute notre spiritualité, toutes nos normes doctrinales ne sont que de la poudre aux yeux si nous ne faisons pas passer les choses en premier.

Que ceux qui n'ont pas de vision, ceux qui ne connaissent pas le programme de Dieu, donnent aux nombreuses causes qui méritent d'être défendues ici, chez eux : Mais que ceux d'entre nous qui ont entendu l'appel de Dieu se concentrent sur le travail de pionnier dans les régions au-delà. Mettons notre argent là où se trouve notre bouche, et seulement là où se trouve notre bouche, pour atteindre les tribus non évangélisées avec l'Évangile de Jésus-Christ.

Extrait du classique intemporel The Challenge to Missions d'Oswald J. Smith.

L'un des articles préférés des pasteurs David et Carol Joy...Bravo maman et papa Brazee !!!

Le cœur de Dieu pour le monde

Écrit par le pasteur Mark Brazee

Les missions sont le cœur de Dieu, car Dieu a tant aimé le monde - le monde entier. En tant que ministre et en tant que croyant, nous avons une grande mission : aller dans le monde entier et prêcher l'Évangile à toute créature. Bâtir un ministère, c'est bien, mais ce n'est pas notre vocation. Construire de grandes églises, de beaux bâtiments, des centres de retraite et des ministères télévisés, c'est bien. Mais tout cela est moins important que d'aller dans le monde entier pour prêcher l'Évangile à toute créature. Que nous soyons appelés en tant qu'évangéliste des frontières ou en tant que pasteur d'une église familiale locale, notre vocation est avant tout missionnaire.

La mission est une vision si importante dans le cœur de Dieu qu'elle est presque une chose tangible - elle peut être enseignée, mais il vaut mieux l'attraper. La mission mondiale me tient à cœur depuis janvier 1975, date à laquelle j'ai eu le privilège de passer une semaine à l'église Lakewood de Houston, au Texas, sous l'influence du pasteur John Osteen. Lorsqu'il a marché sur cette terre, il portait le monde dans son cœur. C'était tellement tangible dans son église que, sans même entendre de messages spécifiques sur les missions, je l'ai saisi.

Aujourd'hui, après 31 ans de ministère, je peux regarder en arrière et constater que j'ai appris beaucoup de choses par la voie facile et beaucoup d'autres par la voie difficile. Ma femme, Janet, et moi avons parcouru les nations pendant 20 ans et sommes maintenant pasteurs d'une église avec une congrégation merveilleuse qui se consacre également aux missions. En fait, nous continuons à nous rendre régulièrement dans les pays étrangers. Mais aujourd'hui, nous sommes en mesure d'envisager les choses sous l'angle du "voyageur" et de l'"expéditeur", et je vois des choses que j'aurais aimé connaître beaucoup plus tôt dans mon ministère.

En tant que pasteur itinérant en Amérique et à l'étranger, l'une de mes plus grandes suggestions pour d'autres dans le même type de ministère est de se connecter étroitement avec une église locale qui croit en vous, qui croit avec vous et qui croit pour vous. Le fait d'être sur le terrain avec une famille ecclésiale qui "tient la corde" est quelque chose que nous expérimentons maintenant lorsque nous partons et quelque chose que nous offrons aux autres lorsqu'ils se lancent. Dans le livre des Actes, les apôtres savaient qu'ils devaient retourner à leur propre compagnie lorsqu'ils rencontraient des difficultés. Une compagnie n'est pas seulement un groupe de ministres, c'est un groupe qui croit en l'autre et qui priera "instantanément et sincèrement" en son nom.

Laissez-moi vous parler d'un missionnaire. Il a quitté son église d'origine avec sa famille pour aller vivre dans un autre pays, mais après un certain temps, il est rentré chez lui vaincu et découragé. Le missionnaire s'est glissé dans un culte un dimanche matin, mais il n'a entendu aucune mention des missions ni aucune prière pour ceux qui travaillent dans les nations. L'église jouissait de la présence de Dieu et de la Parole de Dieu et était occupée à réaliser sa vision locale. Après le culte, le missionnaire s'est entretenu avec le pasteur et lui a dit respectueusement : "Maintenant, je sais pourquoi nous avons flanché et finalement échoué sur le champ de la mission. Nous sommes allés dans un endroit sombre pour en tirer d'autres, et personne ne tenait les cordes".

C'est pourquoi, dans notre église, chaque fois qu'une personne, une famille ou un groupe part pour un pays ou effectue un voyage de courte durée, nous les appelons pendant le service du dimanche matin afin de prier pour eux. Ensuite, la congrégation vient de toutes les directions pour jeter de l'argent à leurs pieds afin de les aider à partir. Mais cela ne s'arrête pas là, car nous avons des groupes de prière qui "tiennent la corde" pour eux pendant leur absence. Cela fait toute la différence du monde, littéralement. Lorsque ma femme et moi voyageons aux États-Unis ou à l'étranger, notre famille ecclésiale nous soutient également. Ce soutien par la prière fait la différence entre le jour et la nuit.

D'un autre côté, en tant que pasteur, c'est un défi - et un mandat - de maintenir une vision pour le monde dans l'église locale. La voie de la moindre résistance consiste à être centré sur soi-même et à se concentrer sur la vie avec une vision en tunnel. Pourtant, notre travail consiste à toucher le monde, et pas seulement notre ville ou notre communauté. 

Le pasteur John Osteen m'a dit un jour : "Vous ne toucherez jamais le monde sans une base de pouvoir". En tant que pasteur, mon travail consiste donc à diriger, à nourrir et à ensemencer. Diriger ne signifie pas entraîner depuis la ligne de touche, mais diriger en allant d'abord quelque part. Nos églises finiront par être une copie conforme de nous, car "ce que j'ai, je te le donne". Si nous voulons que nos églises prient, nous devons être des prieurs. Si nous voulons que nos églises adorent, nous devons être des adorateurs. Si nous voulons que nos congrégations aillent dans le monde entier, nous devons d'abord y aller. En d'autres termes, ce que nous sommes, ils le deviendront.

Nourrir ne signifie pas seulement écrire un sermon pour chaque culte du dimanche ; cela signifie nourrir, surveiller et protéger. Ensuite, ensemencer signifie planter une vision dans les gens. Pour ce faire, nous ne pouvons pas simplement nous asseoir et faire un brainstorming, nous devons passer du temps dans la présence de Dieu et capter du ciel la vision que Dieu a pour notre église. Une chose est sûre : si une vision vient de Dieu, elle sera très forte en matière de missions. Comme l'a dit un grand homme d'État missionnaire, "la mission de l'Église, c'est la mission". Et la lumière qui brille le plus loin sera la plus brillante à la maison.

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Pasteurs Mark et Janet Brazee

Depuis plus de 30 ans, les pasteurs Mark et Janet Brazee parcourent le monde pour partager la Parole et l'Esprit de Dieu. Ensemble, ils ont partagé les puissantes vérités de la foi et de la guérison dans plus de 50 pays.

Aujourd'hui, Mark et Janet sont pasteurs de l'église World Outreach Church à Tulsa, dans l'Oklahoma, où ils fondent leur action permanente dans le monde. Les Brazee continuent de voyager lorsque le Seigneur les conduit, et ils élèvent une congrégation qui partage leur passion pour atteindre Tulsa et le monde.

Une vision mondiale

Écrit par Oswald. J. Smith

L'Église de Jésus-Christ a-t-elle perdu sa vision mondiale ? L'esprit du grand apôtre ne la domine-t-il plus ? Paul serait-il accueilli aujourd'hui parmi ses dirigeants ?

Se rendre dans une église et trouver sa vision entièrement localisée est une triste expérience. Une telle église peut difficilement prétendre être du Nouveau Testament dans le vrai sens du terme. Elle ne voit rien en dehors de ses quatre murs, de sa ville et de sa confession. Les autres responsables sont inconnus. La dénomination vient en premier. Dieu merci, certains sont plus grands que leur dénomination, ils sont chrétiens avant d'être quoi que ce soit d'autre.

Oh, pour une telle vision ! Rien de moins ne nous mettra en phase avec le plan divin. Il faut une vision du monde pour s'effacer. Aucune église n'est trop petite. Il peut y avoir moins de cent membres, mais avec une vision des besoins du monde, Dieu la mettra sur la carte.

Paul a dit : "Il faut que je voie aussi Rome". À l'époque de Paul, Rome était plus éloignée de Jérusalem que le pôle Nord ne l'est du pôle Sud aujourd'hui. Il a également prévu de visiter l'Espagne. Paul ne pouvait pas rester en Palestine sous prétexte qu'il y avait encore du travail à faire. C'était un missionnaire itinérant, un explorateur spirituel. De la même manière, Jésus avait l'esprit tourné vers les "autres brebis", les "autres villages". Il ne voyait pas une seule ville, mais un monde. Lorsqu'il est mort, il est mort pour un monde. Lorsque Dieu a aimé, il a aimé un monde. Il "a tant aimé le monde qu'il a fait don" d'un monde.

Pierre devait avoir cette vision. Il ne voyait que les Juifs, jusqu'au jour où Dieu lui a montré les païens. C'est alors qu'il a su que l'Évangile était pour le monde. La persécution a dû disperser les croyants partout jusqu'à ce qu'ils aient la vision d'un ministère mondial. Lorsque John Wesley a dit : "Le monde est ma paroisse", il n'a fait qu'exprimer cette vision du monde qui est si essentielle aujourd'hui.

Il est toujours facile de savoir si une église a une vision globale. La réunion de prière est l'un des tests les plus décisifs. Écoutez, si vous le voulez bien, les demandes. Dans une réunion de prière ordinaire, elles sont axées sur l'église locale et les besoins individuels des gens. En fait, toute la prière pourrait se résumer à une seule demande : "Seigneur, bénis-moi et les miens ! "Seigneur, bénis-moi et les miens ! Lorsqu'une Église a une vision globale, les prières de ses membres ont une portée globale. Des prières seront offertes pour divers missionnaires, des missionnaires dont les noms nous sont devenus familiers. De nombreux pays, qui n'ont pas encore été évangélisés, seront inclus.

Le type de bâtiment est un autre test décisif. En effet, la congrégation qui dépense des centaines de milliers de dollars pour créer un magnifique auditorium où célébrer le culte, avec tout le luxe et le confort possibles et peu ou pas du tout pour les missions étrangères, n'a jamais compris la vision d'un monde sans Christ. Je crains que si Jésus-Christ était ici, il passerait devant de nombreuses églises, car il ne pourrait éviter le contraste entre l'édifice laodicéen du vingtième siècle et les pauvres champs de mission du monde païen.

Il en va de même pour les missions à l'étranger. Trop d'argent est gaspillé en briques et en mortier. Les convertis de l'Église primitive travaillaient dans des maisons privées, des caves, des grottes - n'importe où. Le Nouveau Testament ne mentionne pas la construction de lieux de culte particuliers. Les églises, telles que nous les connaissons aujourd'hui, n'étaient pas considérées comme nécessaires à l'époque du Nouveau Testament. Jésus a enseigné que Dieu doit être adoré en esprit et en vérité.

Certaines entreprises ont construit de grandes institutions dans des pays étrangers, pour les voir confisquées en temps de guerre et de révolution. C'est un fait connu que Faith Missions a le moins souffert des premiers troubles en Chine, alors que d'autres ont presque tout perdu, parce que Faith Missions a investi son argent dans l'âme des hommes plutôt que dans des bâtiments.

Comment une église peut-elle avoir une vision globale ? En invitant à sa chaire quelqu'un qui a vu le monde. En permettant à son pasteur de visiter les champs missionnaires du monde. En apprenant et en accumulant des connaissances sur la situation dans d'autres pays. En accrochant au mur une grande carte missionnaire du monde. En investissant financièrement dans les régions d'outre-mer. En organisant une convention missionnaire annuelle et en éduquant ainsi les gens au sens de la mission. C'est ainsi que l'on peut susciter un nouvel intérêt et communiquer une vision globale.

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